Sur le Zinc

La compétitivité selon Pérec

W ou le souvenir d’enfance (p 217 à 220)

Al Grossman, manager de Bob Dylan et « spin doctor » de l’industrie du disque

Les dessous de la fabrique des icônes

Photojournalisme(s)

Des photos, et du journalisme

La photographie « témoin fidèle » de son temps ?

Fonction documentaire de la photographie

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Expos

Cahier N°II

Cahier N°II. Monceaux Mathieu

Cahier N°I

Cahiers photographies - Mathieu Monceaux

Métamorphoses urbaines, paysages des franges

Mégapole(s)

Bains douches : Photographies d’un contre-espace

Série de photos

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Tératologie

Bob Dylan, un récit initiatique

Sur les premières années de Dylan à New York et les rencontres qui ont marqué son cheminement.

Le corps, la langue, chez Artaud

Artaud le Mômô, Artaud le penseur, le corps, la langue d’Artaud

L’expérience intérieure, communication et poésie chez Georges Bataille

Le schéma de l’expérience intérieure est mystique.

Tropique du Cancer d’Henry Miller

Henry Miller l’écrivain, le viveur, incarne l’athlète, la bête.

En vrac

Pour un cinema VIVANT

Nous travaillons déjà au Cinéma du Monde Libre !

Rencontre avec Salomon

Le réveil a été douloureux. Il s’était extirpé faiblement d’ une de ses innombrables cuites

Prières : en forme d’allégorie

Un être chétif s’agenouille. J’écoute ses prières.

Sérigraphie 3 : Foutreries

Comment se foutre de tout ?

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Prières : en forme d’allégorie

Tu sortais tout juste d’une de deS grandes opérations bonheur" ? Un chaos verbal tu portais en toi,
D’autres entonnaient chant :


"Je suis le vierge l’inconséquent, l’affable... tout ce que je connais de l’homme, je l’ai lu dans des livres. Bien sûr, des gens sont venus, près de moi ; je les ai pressé si fort à tout me raconter qu’ils en sont devenus folles ou pendus... mon oreille, elle a, recueilli des cris immenses, la misère qu’est venue se fondre dans mon cœur, elle a finit par me blinder, et devenant impassible, un étrange pouvoir est venu se greffer . Aujourd’hui je m’amuse de ce que les autres ont fait si mal pour eux-mêmes.

dans des murmures à froid et comme fossilisé je m’acharnais à voir une babel illimitée, tordante, comme ces cheminées d’usine qui répandent leur suie, aux allures de bataille, et font sacrifice en l’honneur des dieux manufacturés ;
cranes lumineux, lampadophores, dans le bleu percé du ciel

Erreur de perception
Car ici la sphère s’étale doucement, en un ondoyant tapis
les froids dictionnaires jalonnent le sol en un alphabet mouvant et fragile, au titubement plaintif.

et l’équerre des murs s’allonge , dans la lueur des rubans, et d ’ovales salutaires, le tabac s’égraine aux coins de la pièce. (image de chevelure)
,
Monade de la chambre , des signaux décorent la clairière hallucinatoire,

Sans que rien ne nous appartienne au propre, les mains façonnent, un personnage qui, parvient dit-on, à la pointe du jour à inverser le magnétisme su de nos pentes glissantes, par quelque monnaie courante :
Va Personnage
Ton coude sera une rivière de diamants. Ta tache sera de fructifier le sel de nos pensers.« Ah »La marche est une activité agréable quoique péinible en tant de pluie.
La brisure de ma hanche hante les ciels.
Letravail des traders portent au-dessus de nous une fiction rentable

Un conifère est un arbre si l’on veut. Un cône est une figure de géométrie et l’on pense bien Une sphère de même."

Et X travaille tout bonnement à la banque. . Il quitte son emploi à une certaine heure pour rejoindre son amie. Il l’embrasse comme il se doit
Les seins q’elle exhibe fièrement sont très beaux, à vrai dire. Et rien me retenait d’en parler.

Mais je crois qu’il y a quelque chose
X et Y et Z portés à n puissance préparent réagencement . Ils me bouscule me pousse à abandonner l’essor de ma vie ; à la convertir
Ils me questionnent beaucoup

Quand auras- tu trouvé recette sur la fin, qu’il ne faudra ménager à aucun prix ? Comment te tirer d’affaire dans tes échanges sans transaction ?

Ton capital expontentiel tendant vers des cîmes insolvables
Gain à tout moment ,ta tache fructifie le sel de nos pensers
Tu es notre recours le plus puissant et tu nous jettes dans un fanfaronnade qui ne fait plus rire personne

Tel est le mensonge. Des segments en déroute traversent une bulle en pleine expansion. Des cris venus d’on ne sait où, d’ailleurs, d’avant même ce qui était, se déchargent d’où ils leur sera loisible de tout contrôler. De tout perdre .
Me perdre une fois pour toute chez mes ancêtres de passage. Dans les foules ramassés, sur quelques centimètres cube.

Notre étrange ennemi : oeil glaçant ses proies, invisible. au centre mobile, aux tentacules infinitésimales...

Une vieille antiquaille, un miroir sans pareil, conservé depuis plusieurs centenaires n’est d’aucun recours.Ses bords jouxtent et ne laissent filtrer qu’une rai de lumière se propageant un temps entre ses murs, enflammant l’air dans un chambre toute noire., On prononce pourtant, en murmures édifiants, que sa propriété étincelante a fait des violences imaginaires.

Pffff

Dans une allure désempressé de chien , qui vaque comme fuient les gens de la rue, quand des klakons foudroyés, les nuages comprimés de l’air s’emparent des nouveaux codes -sireines collision queue de poisson bleu rouge, la poésie .......................... foutre.
je préfere encore compulser en signaux, dans la journée clairière des événements urbains , de quoi tenir bon train une fumisterie gigantisque propre à me tenir écarter de la vacance,

Je démisionne. Tout est en deça de soi
Réagencement cognitif
Arrgh !!!

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